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    C'est un animal politique
    Du genre chaotique
    Ce président si volontaire
    Qui notre république gère

    En 2017 il fut l'élu idéal
    Face au rassemblement national
    Son règne entraîne depuis confrontations
    Colères, grèves et manifestations

    Le chaos est son état de grâce
    Il se croit trop au-dessus de la populace
    Il ne tient pas compte de ces gueux
    Sans aucune richesse, les affreux

    Il n'écoute que lui
    Il faut suivre ou ne plus être ami
    Dès que des avis sont différents
    Il se détourne, en oublie les éléments

    Son gouvernement a la science infuse
    Contre ce peuple qui abuse
    Têtu il demeure à tout décider
    Sans jamais reculer

    Il ne voit pas qu'ici-bas la diversité
    De la société il doit bien l’aménager
    Monsieur le Président va et parcourt
    Son mandat d'incompétence sans retour

    C'est un animal pathétique
    Du genre catastrophique
    Ce président conflictuel
    Que notre république querelle


     

     

     


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    Le président a dit
    Faites-moi confiance
    Le président a dit
    Je sauverai la France
    Et puis il a tout augmenté
    L'essence de l'auto pour au travail aller
    Devenait plus chère, par exemple, et le peuple crie
    Le président lui il favorise les riches ses amis

    La misère des gens devient révolte en gilet jaune
    Pour au président faire entendre la grogne qui résonne
    Lui, le Grand Maitre Jupiter, il fait en débit
    Des débats pour calmer la populace furie
    Il a montré que seul lui le guide Macron
    Il avait la science infuse et savait donner des leçons

    Les gilets jaunes ont dit
    Président, vous n'écoutez pas les français
    Les gilets jaunes ont dit
    Notre misère vous la dédaignez
    Et puis ils ont décidé de s'exprimer, d'agir
    S'il faut dans la rue aller pour sa misère décrire
    S'il faut dans la rue montrer sa colère
    Le président enfin comprendra la peine de ses stupides affaires

    La misère des gens devient révolte en gilet jaune
    Pour au président faire entendre la grogne qui résonne
    Ils ont fait leur révolution
    Sans débats, ils ont fait leurs actions
    Ils tentent de faire que leur pauvreté un peu s'adoucisse
    Mais les appels sur les hautes sphères de la république glissent

    Les casseurs ont dit
    On va tout détruire, tout briser
    Les casseurs ont dit
    Amusons-nous de ces velléités
    En chaque manifestation des braves gens en révolte
    De mauvaises graines se sèment avant la récolte
    La police et les manifestants se blessent, se font mal
    Et le président regarde tout ça au loin de la foule radicale

    La misère des gens devient révolte en gilet jaune
    Pour au président faire entendre la grogne qui résonne
    Ils ont bien cassé ce qu'ils pouvaient
    Les ébats de réclamation s'achèvent mal aux défilés
    Les gilets jaunes ont protesté, protestent, protesteront
    Tant qu'au-dessus d'eux passera l'intangible Macron

     

     

     

     

     


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    Sur les parvis de Notre Dame
    Restent les pavés de notre drame
    Sur les parvis de Notre Dame
    Sortent des pavots en notre âme
    Sur les parvis de Notre Dame
    Pousseront les fleurs monsieur, madame

    Le drame de l’incendie
    Tragédie d'un feu effrayant
    Les flammes ont sévi
    Que des pleurs pour le monument

    De l'édifice en partie 
    Ne restent que des débris
    Il sera reconstruit, mais du quotidien banal
    La misère continue pendant le bal

    Sur les parvis de Notre Dame
    Restent les "Ave" et notre drame
    Sur les parvis de Notre Dame
    Sortent les aveux en notre âme
    Sur les parvis de Notre Dame
    Fleuriront les jardins, monsieur, madame

     

     

     


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    La vie humaine est un grand océan qui nous soulève
    Ses vagues troublent les miroirs de nos âmes
    L'Espoir en vain se mire au profond des drames
    Et les ténèbres parfois noient nos sombres rêves

    Sous le froid aspect de ces ondes déployées
    Nos bonheurs coulent dans de vastes abîmes
    On tente parfois de se relever, d'atteindre les cimes
    Dans nos beaux rêves déçus, d'illusions noyées

    Ô douleur de trop pleurer,
    Ô douleur de trop user sa haine
    Ne partira donc jamais ma peine ?
    Ne viendra donc jamais cette belle journée ?

    Pourtant une harmonie étrange peut sauver une vie
    Au sein d'un être épuisé demeurent la paix et la passion
    Un triomphe se dessine parfois dans l'ignoble situation
    Quand l'existence semble détruire nos belles nuits

    Quelque sympathie se ranime au fond des cœurs
    Quelque douce affection qui fait les beaux jours
    Dans des bras ouverts de tendresse se retrouve l'amour
    Qui appelle de ses gentils cris les âmes sœurs

    Ô douleur de trop se lamenter,
    Ô douleur de trop voir la malchance
    Ne viendra donc jamais cet état sans violence ?
    Ne partira donc jamais ce sentiment de mal aimé ?

    Quelquefois simplement quand je me sens oppressé
    Un mal sournois fait déborder ma vie et sert
    Des liens dans mon corps et mes pensées
    Mes bonheurs vous tombez tous et j'erre

    Quand l'aube doucement s'évapore
    Aux premières heures du matin, je rirai
    D'un chant glorieux que je vais fredonner
    J'appelle un jour d'espoir et laisse les maux au dehors

    Ô douleur de trop désirer,
    Ô douleur de trop vouloir s'enfuir
    Ne partira donc jamais ce coup qu'il faut subir?
    Ne viendra donc jamais un moment de sérénité ?

     

     

     

     

     Poésie inspirée du roman de Ghislaine Nicolas

    "Autant En Emporte La Vie"

    http://la-musique-des-mots.eklablog.com/

     

     


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    Joyeuse, franche, moqueuse, Dame Michu s'en va
    Elle a su de ses fables suivre l'univers offert par EKLA
    Certains jours, elle se cachait et restait muette
    D'autres, elle sortait de son domaine et poussait des cris
    Nous commentions par sa volonté ainsi faite
    Nous commentions sur le billet qu'elle portait ici
    Dans l'anonymat de nos pseudos, nous savourions
    La cruauté et l'idiotie de la vie que nous lisions

    Elle nous a envoyé tant de discussions passionnées
    Et nous avons bien vénéré cette déesse qui nous interpelle
    Se moquant de nous quand on perdait la boule et dans des propos inouïs on partait
    Nous avons continué de l'aimer, amis fidèles
    Elle savait assurer nos rires, nos plaisirs
    Et répondait souvent présente à nos avis
    Alors que doit-on vraiment faire ici ?
    Puisque peu à peu, on voit son blog s'en aller, plus qu'un souvenir

    Elle était très impliquée et dégustait nos frénésies
    Un simple commentaire sur ses textes, ses faits joliment posés
    Lui donnait la matière a nous enseigner à l'envie
    Pourquoi ne veut elle plus continuer ?
    Toutes les questions se retournent en nos folles tètes
    Elle nous aimait, nous engueulait ou nous encensait d'une blagounette
    Maintenant on le sent bien qu'elle a atteint son terme
    Maintenant on le sent bien qu'elle a atteint la conclusion et se ferme

    Elle arrête sa boutique et restera dans l'ombre désormais
    La fin si proche vient fort résonner
    Elle va quitter son domaine, laissant là le décor
    Elle ne veut plus bloguer et en sort
    Elle savait assurer nos rires, nos plaisirs
    Et répondait souvent présente à nos avis
    Alors que doit-on vraiment faire ici ?
    Puisque peu à peu, on voit son blog s'en aller, plus qu'un souvenir

     

     

     

    Poème inspiré de la fermeture du blog

    http://mimimi.eklablog.com

     

     


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