Parlons bien
Parlons peu
Parlons de rien
Parlons mieux

Parlez encore
Parlez souvent
Parlez d'abord
Parlez dans le vent

Il y a des sujets
Dont je n'ai aucune solution
Il y a des idées
Dont je ne peux trouver l'action

Il y a des actes
Dont je ne perçois plus rien d'exact
Il y a des défis
Dont je ne peux avoir de garantie

Il y a des matières
Dont je ne suis pas spécialiste
Il y a des affaires
Dont je perds la piste

Il y a des mesures
Dont je ne suis pas sur
Il y a des réunions
Dont je n'écoute les questions

Parlez de moi
Je suis épatant
Parlons de vous
Si vous êtes puissant et fort

Parlons de toi
Je consulte mes agents
Parlez de nous
Sans réveiller la bête qui dort

Dans l'ère du Wokisme, ce courant nouveau,
Où le politiquement correct fait loi, sans repos.
Il est temps que je réfléchisse et de me questionner,
De ces excès de dogme, ses ''douces'' dérives sont à condamner.

Le respect pour tous, une noble quête en soi,
Mais l'excès de zèle peut mener à l'effroi.
La libre pensée étranglée, la parole muselée,
Au nom de la vertu, bien des maux sont enclenchés.

Le Wokisme, un miroir aux reflets trompeurs,
Où la censure sévit, étouffant les dissidents, les conteurs,
Ceux qui ne pensent comme eux, pourtant trésors à préserver,
Mais doit-on tous se sacrifier pour leur plan dévié ?

La société est complexe, des nuances à explorer,
Pas de blanc et de noir, que des couleurs à déchiffrer.
Le Wokisme, s'il nous invite à la réflexion,
Ne doit pas écraser toute forme d'opinion.

Réfléchissons donc bien avant de suivre le courant,
Le Wokisme a des qualités, certes, mais des tourments.
Critiquer ses excès, c'est mon devoir citoyen,
Pour que nos pensées libres trouvent toujours des chemins.

Ensemble, si nous construisons un monde bien équilibré,
Que la diversité d'idées en soit ce capital à renforcer.
Le Wokisme, à bon escient, peut ouvrir des barrières,
Mais son intransigeance à excès, à nous de le défaire.

Dans l'éclatant matin de notre liberté dorée,
Là où nos cœurs s'ouvrent, où nos esprits sont vrais,
Se dresse la promesse de vivre en harmonie,
Notre foi, notre lumière, en totale symphonie.

Dans l'étreinte d'un vent léger naissant des cieux,
Nous trouvons le souffle de rester véritables et pieux,
Liberté d'exister, d'adorer, d'imaginer son bonheur
Dans le temple de nos âmes, nous prierons chaque heure

Des prières qui s'élèvent, en chœur ou solitaire,
Des temples, des synagogues, des églises, des mosquées, toutes sincères,
Chacun trouve sa voie, son chemin, et de son parcours
Guidé par la foi, déterminé, reste serein et en parfait amour.

La liberté de croire est un trésor précieux,
Elle unit le peuple, réchauffe les cœurs silencieux,
Dans l'arc-en-ciel des croyances, une palette de couleurs se fait,
Où la diversité ressemble à une splendide fleur qui naît.

Cultivons la liberté de vivre sa religion,
Un hymne à l'amour, à la paix, à la passion,
Dans un monde ignoble, brutal où certains tuent ce qui n'est pas des siens
Ensemble, main dans la main, avançons et allons olympiens.

Je délaisse avec liesse
Je débarrasse avec grâce
Je ne cherche pas mieux
Je ne veux plus que ça empire

Je rends toutes les pièces
De ce jeu qui m'embarrasse
Je suis sur un chemin heureux
Encore loin mais je vais m'en sortir

Pas à pas je trouve la distance
Pour ne plus me débattre
Trouver l'énergie de combattre
Sans renoncer à force de patience

Je cherche une nouvelle voie
Je ressens une grande joie
Abandonner toutes ces peines
Ma douleur je quitte ta scène

La nuit est sombre, les ténèbres m'entourent,
La lueur de la pleine lune s'infiltre en moi,
Et dans mon cœur, une étincelle toujours,
Qui éclaire l'obscurité de toutes ses lois.

Les ombres s'écartent, les contours se dessinent,
Et tout devient clair dans la pâle clarté,
La lune, fidèle compagne, nous illumine,
Et nous montre le chemin de la réalité.

Ses rayons argentés sur la nature se posent,
Les arbres se découpent dans le ciel étoilé,
La lumière douce et froide sur moi se dépose,
Et je me sens en paix, l'âme calmée.

Dans cette nuit lumineuse, tout est serein,
Les ténèbres se dissipent devant cette lueur,
Et je me laisse bercer par le son du lointain,
Dans cet instant de grâce, tel un éclat de bonheur.