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    Ici c'est ma forêt
    Où je décide de m'y balader
    Où je respire la Nature
    Avec arbres, fleurs et animaux c'est l'aventure

    Je rêve d'un tableau, comme Mona Lisa
    Et la Joconde me sourit
    Je la vois toujours jolie ici
    Où je m'en vais de-ci de-là

     J'ouvre parfois un bouquin
    Dans le calme des bois où je reviens
    De cette tranquillité, sérénité
    Ainsi je choisi de m'abreuver

    Ici c'est mon bois
    Où je décide de me languir
    Où je vis mieux mon petit plaisir
    Ma joie de marcher, de lire, d’être comme ça   



     

     

     

     

    Poème inspiré par mon stage

    où il fallait choisir trois photos exposées sur une table

    j'ai choisi une foret, le tableau de Mona Lisa, La Joconde

    et une bibliothèque avec plein de livres en vue

     

    puis il nous fallait dire pourquoi avoir choisi ces trois images

    c'est donc ce poème que j'ai écrit

    pour donner mon impression photographique


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    Un nouveau passage
    Pour se créer son image
    Une formation de bons messages
    Pour cultiver son paysage

    Je suis prêt
    J'y vais
    Ici découvrez
    Le trajet

    Chacun propose un objet
    Qui le caractérise
    Chacun montre ce qu'il est
    A travers une chose précise

    Deux livres, l'un sur des artistes qui s'écrivent, l'autre sur la nature
    Une éponge, un rubis et un bocal à bonbons
    Une madeleine, une photo de chien et une voiture miniature
    Un pin's avec son thème ''ensemble'' et un papillon

    Un cycle d'existence
    Pour qu'en tests et qu'en documents
    Se fasse comprendre ce qui est présent
    Ce qui se définit de l'apparence

    Je suis
    Ici
    Je vis
    Ceci

    Chacun découvre à sa manière
    En plusieurs matières
    Ce qui fait barrière
    Ce qui reste derrière









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    Je mens
    Je ne dis pas ce qui est
    Je m'exprime sans tout dévoiler
    C'est mon talent

    Je mens
    Sur cette vie que je donne
    En texte que là je crayonne
    En poésie qu'ici je ressens

    Dans ces écrits que je me compose
    Rien n'existe de ce que je propose
    J'invente en partant
    D'une réalité que je change évidemment

    Dans mes petits moments littéraires
    Je présente tout un bel univers
    Mais tout y est faux, artificiel
    C'est mon art d’écrivain qui interpelle

    J'invente
    Je raconte plein d'histoires
    Je révèle plein de récits dérisoires
    C'est ma force charmante

    J’exagère
    Les vies, les faits qui m'apparaissent
    En texte qu'ici je confesse
    En poésie là je persévère



     

     

     

     


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    Sur une page blanche je vais écrire
    Un poème pour poser mon existence
    Sous le frisson furtif de la métamorphose
    De ma grande âme qui s'inquiète

    Je vais sur les sommets d'abrupts rochers
    Je passe de vastes déserts à des lacs mélancoliques
    Je glorifie le soleil aux rougeâtres reflets
    Je m'offre quelques froides saisons en mes balades poétiques

    Pendant mon sommeil, je rêve encore à ces grâces
    La nuit finie à l'éveil de l'aurore je m’égare
    A peine éveillé je ressens encore les joies rares
    Où je promène de ma vie ces lieux et ces traces

    Je m'offre ainsi de doux moments sur ma planète
    Par l’écriture je rends compte de l’âme des choses
    Quand la vie s'endort parfois je joue avec ma chance
    Je ne veux arrêter de vivre alors de vains plaisirs

     

     

     

     

     


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    La haine c'est ça
    N'aimer personne, seul en ta maudite tête
    La haine c'est cet état qui te mène bas
    T'isole pitoyable sur ta petite planète

    La haine qui te fait si bien vivre
    C'est toujours agir contre tous, te conduire une guerre
    Si une conversation s'impose, tu vocifères
    Tu cries tel un hideux monstre que tu délivres

    La haine ce n'est que toi, si méchant
    D'une vie fade qui passe et te brise
    Tu ne vas glorifier que ce qui divise
    Sur ton champ d'honneur, force à qui sème le vent

    La haine c'est là
    Où tu caches ton ressenti le plus vil
    La haine c'est le précieux trésor que tu as
    Que tu enrichis de ces idées imbéciles

    La haine qui ne t'apporte que peu de sourires
    C'est toujours le désespoir qui gâche la joie
    C'est cette folle croyance qui n'est pas
    Faite pour en société t'accueillir

    La haine ce n'est que toi, si barbare
    D'une façade sauvage tu te révèles
    Tu n'es qu'un pauvre clown sans fard
    Un piètre volatile qui chemine sans ses ailes

    C'est la haine qui forge ton mal
    Cette souffrance n'est que ton despote
    Tu es la seule âme qui se blesse, petit animal
    Tu te perds dans l'empire hostile de tes fautes

    La haine c'est ça
    Ta haine cesse ça
    La haine cessera
    Ta haine cesse rat

     

     

     

     

     


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