Je ne suis qu'oiseau virevoltant parmi les aigles
Je ne suis qu'un petit moineau qui se berce en son nid
Pourtant je pars vers toi Impératrice, mon cher idéal
Toi la seule femme à l'ombre de mes secrets d'animal
Toi la seule qui aurait pu ardemment me calmer des bruits
Toi la seule qui d'équipée impériale a fait du voyage ta première règle
S'évader comme toi l’Impératrice et partir au loin
Oublier les contraintes et voyager, de cette vie monotone
Oublier l'étiquette figée et si bien sociale
Vivre à contre cœur même si cela fait tant de mal
S’enivrer de trop aimer la nature qui s’offre à nous et là frissonne
Aux faveurs de chaque saison sans le souci des lendemains
Toi ma muse, toi l’inspiratrice qui cette âme va m’offrir
Donne-moi la force de continuer et d'agir
A vivre pleinement l'amour courtois
L'amour qui ne demande point mais donne tant avec l'émoi
Si l'amour, moment fragile qui offre de déplier ses ailes
De ce poème fera d'égal amusement pour aller tel quel
Impériale Inspiratrice, fais que les ombres ne puissent s'étendre
Fais que ce funeste Mayerling sur moi ne puisse se rendre
Donne-moi les forces de poèmes d'amours galantes
Qu’aucune tragédie du temps sévère ne m’attriste et ne me hante
Impératrice qui fut de voyage en voyage l’éternelle pensée
Oublions ensemble les aléas de cette grave existence à jamais
Si je ne suis que faible oiseau virevoltant parmi les rapaces
Si je ne suis qu'un petit moineau qui vole sa course vers l’horizon
Fais que je reste près de toi Impératrice, mon noble absolu
Toi qui s’immisce à l'ombre de mes secrets tant voulus
Toi qui ardemment me protège de ces horribles agressions
Toi qui en ta vie de toutes ces promenades fit une dédicace