Un peu de pluie sur les visages coule
De longs déluges demeurent
Marcher sous l'averse de ces heures
C'est l'instant où avec les eaux tout s'écoule
Pas d'exaltation en bonheurs radieux,
Œuvre divine qui des cieux tombe en milliers
De gouttes pour de ces inondations nous affoler
Ce temps mauvais ne va plus au mieux
Est-ce un esprit qui ainsi pleure en bruit d'eaux ?
Est-ce une divinité qui déverse ses larmes, sa rage sans cesse ?
Dans l'azur nuageux mon poème s'offre une messe
Pour prier à qui pourra tout arrêter de là-haut