Des cauchemars paraissent mais il faut tenir face au mal
Des larmes coulent tels de pénibles pluies commencées au loin
Que nul n'essuie, que nul ne vient sécher, les autorités sont perdues
Face à la menace du virus chacun se contredit en divers conseils
La panique sur des flots d'angoisse secoue sans pareil
L'espérance de bonne raison n'est pas totalement abattue
Même si le monde lourd et mélancolique ne trouve pas les bons soins
Pour sauver la situation, on s'oblige de rester cloitré en local
Confiné, enfermé
Notre vie a bien changé
Il faut pourtant respecter
Ce qui va nous sauver
Les jours passent, nos cœurs doutent encore
Allez, braves humains, le printemps s'amène
Pensez que la nature attendra la tragédie finie
Sous des nuages dorés, tout reviendra se célébrer
Si nos âmes s'inquiètent de se sentir trop enfermées
Si le temps entreprend sa course, il faut ralentir nos vies
Le bonheur de l'horizon reviendra sur scène
Reprendre son quotidien d'avant alors
Cloitré, prisonnier
Chez soi pour la santé
Il faut tenir des journées
D'un espoir de bonheur qui renait
bonjour Juste tu vas bien
j'aime ce poeme , oui nous sommes cloitrés , enfermés
mais pas mort
j'ai peur , je me caches les yeux quand je regardes les infos
ou je regardes pas, y a des choses sympa à la télé
ils nous redonnent des vieux films rigolos
mais ils nous prennent pour des idiots,
ils endorment notre tête,pour nous embrouiller
les idiots ce sont eux
prends soin de toi bisous
Elyci